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Après une formation de graphisme & un master de recherche graphique, je me forme à la gravure et à l’impression dans les ateliers collectifs IPN à Toulouse. J’y rencontre des gens qui m’entrainent dans diverses aventures, des repas de quartier à la conception de revues , fanzines et autres réjouissances imprimées. Puis je décide de retourner au Pays pour voir si l’herbe y est toujours plus verte et je m’installe au Züzülü, un atelier transdisciplinaire en plein Petit Bayonne.

Aujourd’hui dessinatrice et graphiste indépendante, co-directrice de la revue expérimentale l’Esprit Tranquille chez Les presses Fantomes,  je m’intéresse aux feintes graphiques, à la représentation des châteaux d’eau et autres constructions. Je partage mon temps entre le dessin, la gravure low-cost, le graphisme et la fabrication d’objets imprimés.

(Presque jamais, j’actualise des choses sur mon tumblr ou mon instagram.)

biographie complète :

I
Après un BTS de graphisme à Toulouse dans un lycée en forme de , je découvre les multiples couloirs de la fac pour trouver un Master de recherche en Arts Appliqués . Je m’y suis attardé à étudier le livre et ses techniques de feintes graphiques, les artifices qui pourraient permettre au graphisme de faire basculer ses supports dans la fiction qu’il accueille.

II
En même temps, la fac c’est long, alors on fonde l’association Octocode avec Bianca M.D, Théo A., Brenda G. & Irène D., afin d’expérimenter le travail à plusieurs mains et à plusieurs avis, et les ponts de singe entre le graphisme et les autres (disciplines), comme la céramique ou la pâtisserie par exemple.

III
Et comme les réunions dans le salon, ça devient compliqué, on rejoint alors le collectif IPN, où je découvre la gravure et la sérigraphie, ainsi que les joies et déboires d’un lieu d’expérimentation artistique auto-géré.

zuzulu
Devant le Züzülü un jour de pluie pendant le confinement #3

IV
Au bout d’un moment (7 ans) les réunions à IPN, ça devient compliqué, et la pluie me manque, alors je décide de retourner dans mes contrées natales, pile au moment où le Züzülü s’ouvre, donc ça c’est de la chance. C’est là que j’installe mon atelier de gravure et mes envies de résidences autour de l’expérimentation des techniques d’impressions.

Aujourd’hui, je partage mon temps entre mes désirs d’appropriation du paysage, le projet collectif du Züzülü, la création de livres spectraux avec Les presses Fantômes et les projets de graphisme en indépendante.

CV

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